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Vins rosés coupés : les étranges valses-hésitations du ministre de l’Agriculture
17/03/2009 12:41
Habitué des cénacles bruxellois où, dit-on, il souhaiterait retourner après sa future élection au Parlement européen, Michel Barnier avait déjà manifesté une curieuse conception de la défense des intérêts français : lorsqu’il était Commissaire européen au début des années 2000, il avait, tout comme son collègue socialiste Pascal Lamy, approuvé sans réserve aucune le projet de directive Bolkestein, prévoyant la mise en concurrence sauvage des services au sein de l’UE.
Ministre de l’Agriculture aujourd’hui, il vient d’approuver (avant de changer son fusil d’épaule, donc) le principe du rosé coupé, pratique qui selon l’aveu même d’un autre membre du gouvernement, Hubert Falco, menacerait l’avenir des producteurs français, qui ont fait le pari de la qualité.
Vin rosé : comment la France a changé d’avis
Libération, vendredi 13 mars 2009
Philippe Brochen
Lors d’un vote indicatif à Bruxelles, le ministre de l’Agriculture Michel Barnier a donné son accord au mélange de vin rouge et de blanc. Avant de retourner sa veste...
Peut-on mélanger du vin rouge et du vin blanc pour faire du rosé ? A cette question, la Commission de Bruxelles répond oui. Et la France ? Eh bien, la France, heu… On ne sait pas trop.
Résumé de l’affaire. Fin janvier, à Bruxelles, la France a approuvé avec ses homologues des Vingt-sept, un projet de réglementation européen autorisant le mélange de vin blanc et de vin rouge pour faire du rosé. Pratique actuellement interdite dans l’UE, à de rares exceptions près, comme pour le champagne.
Mais voilà, sans doute sous la pression des producteurs français de rosé, dont ceux de Provence, Michel Barnier et ses troupes semblent avoir changé d’avis sur cette question dite du coupage. Charge à eux, maintenant, de parvenir à infléchir leur position sans que cela se voie trop, avant le vote définitif sur la question, le 27 avril à Bruxelles.
Au cabinet de Michel Barnier, on a le sens de la précision. « Le 27 janvier, ce n’était pas un vote indicatif, c’était un recueil d’avis informel », dit le ministère de l’Agriculture. Le porte-parole du commissaire européen à l’Agriculture, lui, dit : « Vote indicatif ou informel, c’est un peu la même chose. Nous, à la Commission européenne, on dit indicatif. Après s’ils veulent dire informel… »
« C’est vrai que ce point précis pose problème »
Au ministère de l’Agriculture, on avance que « cette question du rosé a été traitée dans le cadre d’un règlement global sur les pratiques œnologiques dans l’UE. C’est une question parmi vingt ou trente autres : copeaux, alcoolisation, adjuvants… On a donc voté pour l’ensemble du texte, qui comporte tout un tas de dispositions ».
Dont la technique du coupage pour le rosé. « C’est vrai que ce point précis pose problème », avoue l’entourage de Barnier. Pourquoi alors avoir voté favorablement. « Nous avions le souci de ne pas bloquer le processus, qui doit entrer en vigueur le 1er août. »
La Commission européenne connaît l’embarras du camp français concernant ce projet de réglementation sur le vin. « Paris a voté pour ce paquet de mesures sur les pratiques œnologiques que nous voulons changer. Il semble qu’ils aient conscience que cela leur pose maintenant un problème », réagit Michael Mann, porte-parole du commissaire à l’Agriculture.
Qui résume : « Les Etats membres peuvent toujours changer d’avis entre le vote consultatif et le vote définitif. » Et le fonctionnaire européen d’avouer : « Nous sommes en train de réfléchir à la conduite à tenir si certains Etats membres votent contre ce changement de réglementation. »
Comme dans l’affaire sur la baisse de la TVA dans certains secteurs, comme la restauration, dont l’accord a pu être arraché par la France grâce au vote allemand, il semble que Berlin puisse venir une nouvelle fois au secours de Paris sur la question du coupage. L’Allemagne, qui a voté défavorablement lors du vote indicatif, pourrait permettre à Barnier de se sentir moins isolé le 27 avril et lui permettrait de ne pas se prendre la porte de sortie en pleine figure.
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Il faut remettre à plat dans la transparence les tarifs de GDF
16/03/2009 13:43
Lors de la privatisation de Gaz de France, on a assisté à beaucoup de revirements (par exemple d’un ancien ministre de l’Economie et des Finances passé à l’Intérieur, qui avait pourtant juré ses grands dieux qu’il ne laisserait jamais s’opérer cette privatisation) et on a entendu beaucoup d’arguments, qui sonnaient en réalité davantage comme des alibis.
Depuis que la part de l’Etat dans le capital de GDF est descendu à moins de 50%, on a pu constater combien la recherche du profit l’emportait sur le sens du service public au sein de l’entreprise, conformément hélas aux craintes que j’avais formulées avec de nombreux observateurs et parlementaires.
Dernier développement du dossier, la question des profits réalisés par l’entreprise et des dividendes qu’elle s’apprête à distribuer généreusement (notamment à l’Etat), ne peut qu’exaspérer par ces temps de crise et de diminution du revenu disponible des classes moyennes.
Dans un rôle de plus en plus ambivalent, l’Etat encore actionnaire de GDF a consenti des hausses importantes du tarif réglementé du gaz, invoquant l’envolée du cours des hydrocarbures en 2008 (argument des plus douteux, compte tenu des contrats à terme dont bénéficie l’entreprise). Bien entendu, en filigrane, l’argument était qu’il fallait préserver l’équilibre financier de Gaz de France en ne lui imposant pas d’augmentations trop modérées de ses tarifs.
Patatras, le résultat 2008, un bénéfice annuel de 6,5 milliards d’euros en hausse de 13% par rapport à 2007, démontre combien la puissance publique ne se soucie plus de l’intérêt général - le meilleur prix aux consommateurs de gaz - mais de l’intérêt des actionnaires, dont elle-même, qui doivent pouvoir se goinfrer toujours plus, crise ou pas crise.
Grâce à une hausse du tarif du gaz en 2008 de plus de 15%, GDF va ainsi distribuer 4,8 milliards d’euros à ses actionnaires, dont plus du tiers à son premier actionnaire, l’Etat.
Que Bercy ait finalement annoncé vouloir toucher cette manne sous forme d’actions et non d’argent sonnant et trébuchant – sans doute en partie pour minimiser le scandale – n’y change rien. Cela indique plutôt que les prévisionnistes du ministère de l’Economie et des Finances misent sur des résultats de plus en plus florissants de l’entreprise, désormais animée par la recherche du profit et assurée que l’Etat jouera dorénavant davantage un rôle d’actionnaire que de régulateur.
Ce système n’est pas acceptable : il s’apparente clairement, s’agissant d’une ressource essentielle, à la mise en place de prélèvements obligatoires cachés, ce qui est d’autant plus choquant qu’il s’applique à une multitude de Français, sans considération de justice sociale en période de crise, et qu’il est le fait de gouvernants qui, par ailleurs, ne cessent de vilipender l’excès d’impôts.
Christine Lagarde, sans doute pour tenter de se faire pardonner, a promis une baisse substantielle du tarif réglementé du gaz au 1er avril. Mais la baisse ne compensera pas l’abus tarifaire de l’année précédente et surtout elle entrera en vigueur à un moment de l’année où les dépenses de gaz des Français sont naturellement beaucoup plus faibles. « Trop peu, trop tard », dénoncent déjà à juste raison les associations de consommateurs…
Quelle solution ? Pour ma part, je n’ai pas changé d’avis et estime toujours que l’idéal serait la mise sur pied d’un grand groupe public de l’énergie, EDF-GDF, assis sur un monopole national. Ce système fonctionnait très bien jusqu’à ce que l’Europe s’en mêle et que nos gouvernants, en 2002, lui lâchent tout en rase campagne. De plus, cela n’interdirait pas, contrairement à ce que l’on entend, le développement international de l’entreprise dans des pays tiers, avec lesquels des accords de partenariat stratégique pourraient très bien être noués. L’exemple d’Areva dans le nucléaire le démontre à l’envi.
En attendant, nul n’est besoin de chambouler la libéralisation du marché de l’énergie en France pour que le gouvernement décide d’une réévaluation transparente et au bénéfice des usagers du gaz des tarifs de GDF. A cet égard, une réelle mise à plat du calcul des prix de cette entreprise, qui n’a jamais eu lieu, est urgente.
Commentaire de Anthéa (16/03/2009 15:08) :
Pour ceux qui douté encore de la noblesse du comportement de Sarkozy par
apport au Général De Gaulle…
http://www.marianne2.fr/Nicolas-Sar...
Vous verrez comme le premier est loin, trés loin de laz vertu du second !
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Commentaire de manéthon (16/03/2009 18:48) :
Lire sur le site d'Alain
Ahttp://alpernalain.blogspot.com/2009/03/un-jumelage-henin-beaumontpont-sai
nt.htmllpern
A quand une association de contribuable de ce type sur Hénin ?
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Ah les médias !
16/03/2009 09:31
Ce matin, après la lecture de mon journal qui relatait déjà la veille et encore aujourd’hui, le meeting du FN à Arras, je regardais l’émission des " 4 vérités " dont l’invité du jour était Marine Le Pen. J’espérai ainsi en apprendre un peu plus sur le programme proposé par le FN en matière de politique européenne, car après 48 heures de matraquage médiatique, hors mis des slogans péremptoires et des inventaires à la " Prévert ", je restais sur ma faim…
Eh bien, j’y suis resté ! Mme Le Pen a dénoncé les travers de l’Union Européenne que DLR dénonce depuis toujours, mais elle n’a pas exposé l’once d’un début de programme.
Je retiens que le journaliste, en parlant de concurrence des partis souverainistes, n’a cité que Philippe De Villiers, le marquis inféodé à Sarkozy 1er. Pour rappel, son mouvement a fait alliance avec Libertas, organe créé par un richissime et sulfureux affairiste irlandais, ce qui nous permet d’émettre des doutes quand à son indépendance vis à vis des lobbies financiers qui tuent l’Europe. En revanche, ce même journaliste, fidèle à la " liste noire " du petit monarque Sarkozy 1er, n’a jamais nommé DLR ou Nicolas Dupont – Aignan. Je retiens également Mme Le Pen se plaignant du déficit médiatique qu’à rencontré son parti (sic)… Soyons sérieux, après l’UMP et le PS, le FN est le troisième parti le plus exposé en France, tous médias confondus (pour rappel, DLR n’arrive qu’en 9ème place). Ce n’est un secret pour personne, cette hyper – médiatisation du FN ne se fait qu’avec la bénédiction de l’UMP et du PS. Quelle aubaine pour eux que ce FN qui, par ses outrances, nuit au souverainistes sérieux, et au delà, à la France même !
PW
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Mais à par ça, l'Euro nous protège !
13/03/2009 11:08
A l’aube des élections européennes, les Euros béats ne cessent de nous le marteler, dans tous les tons et à chaque instant depuis le commencement de cette crise : " l’Euro est une bénédiction puisqu’il nous protège " !
Mensonge !
Tout d’abord, si l’Euro était si protecteur que cela, pourquoi des pays comme le Portugal, la Grèce ou l’Espagne songent de plus en plus ouvertement à se doter à nouveau d’une monnaie nationale ? L’Irlande et l’Italie seraient prêt à les rejoindre ! La presse europhile ne nous n’en a pas fait écho, pas plus qu’elle ne s’est attardée sur les dernières statistiques d’Eurostat, l’organisme officiel de la statistique pour l’Union Européenne. Au dernier trimestre 2008, le PIB de la zone Euro à reculé de 1.5%, alors que celui des USA reculait que de 1%. De plus, la zone Euro est entrée en récession bien avant la zone de l’Union Européenne qui n’utilise pas l’Euro (Grande Bretagne, Danemark…) . Cette récession s’est amorcée dés le 3ème trimestre 2008, alors que l’ensemble de l’Union Européenne était en croissance économique positive. Dit autrement, les Pays de l’Union n’utilisant pas l’Euro ont conservé plus longtemps de bonnes performances économiques. Tous ce la contredit bien la propagande des ardents partisans de l’Euro. La vérité c’est que si l’Euro nous protège, c’est d’abord de la croissance et de la prospérité mondiale quand elle inonde le monde, et manifestement, ne nous protège guère de la crise. Pour faire court :
-
La zone Euro fût la zone qui bénéficia du plus faible taux de croissance ces 10 dernières années
-
La zone Euro fut la première à entrer en récession
-
La zone Euro subit la dépression la plus sévère dans le monde
Conclusion :
L’Euro ne nous protège pas des crises et nous favorise pas dans les période de relative prospérité, donc l’Euro est inutile à la France qu’il dessert.
Mais à part ça, rassurez vous, " l’euro nous protège " !
PW
Commentaire de DLR1 (canal historique) (13/03/2009 14:11) :
Mon commentaire ayant été censuré sur le blog MJS, je le fait apparaître
ici:
Je répondais à une question de Kikou
DLR1(Canal Historique) Says: Your comment is awaiting moderation.
13 mars 2009 at 15:13
Toujours ce même langage sur ce que la France serait sans l’Europe… Je vous
retourne la question que serait l’Europe sans la France ? Pour DLR, nous
avons un programme, ce fameux plan B qu’on nous a refusé jusqu’ici. Je vous
le livre ici succinctement et vous invite à consulter les liens que je vous
mets ici afin d’approfondir vos connaissances concernant notre programme :
1/ Supprimer la commission européenne et réinstaurer une Europe
confédérale
2/Créer des commissions thématiques où adhéreraient les Etats volontaires
pour développer des programmes concernant l’intérêt général et le leurs.
3/Instituer un protectionnisme raissonée qui taxerait fortement les Etats
qui ne respectent pas les règles que ce sont fixées les états en matière de
protection de l’environnement, de protection sociale…
Pour plus détails consulter :
http://www.debout-la-republique.fr/
http://blog.nicolasdupontaignan.fr/
http://dlr14eme_62.vip-blog.com/
Je ne saurai également vous encourager à lire les mémoires du Gal De
Gaulle. Il était, sur l’Europe, d’une clairvoyance jamais atteinte depuis
par nos chefs d’Etat.
Pour conclure je vous dirai que notre programme a tous pour réussir alors
que le système européen fédéraliste, atlantiste et ultra - libéral que
cautionne l’UMPS à démontré ses limites : un cuisant échec !
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Commentaire de GB (14/03/2009 09:38) :
Quand je militais au MDC, on tenait à peu près le même discours que toi
aujourd'hui. Il y a encore 6 mois, le terme "nationalisation" était un
gros mot.Quant à "protectionnisme", n'en parlons pas, prononcer ce mot
était passible de la peine de mise à l'index...les Etats Unis quant à
eux ne se sont jamais génés pour se protéger!
Or que vois je aujourd'hui? Un pantin nommé Sarko qui se fait le
chantre de ce qui'il condamnait, il y a 6 mois.
Et que penser des millards d'euros dilapidés alors que l'on
supprime des postes, des hôpitaux, des enseignants?
Cette classe politique m'écoeure à un point que tu ne peux soupçonner.
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Commentaire de DLR1 (canal historique) (14/03/2009 16:53) :
Le MDC était un pionier en la matière, dommage qu'il se soit fait
phagocyter par le PS. Nous mêmes restons trés vigilant pour ne pas nous
faire éliminer de l'intérieur par un UMP qui a juré notre perte. A ce
propos je te signal que nous avons beaucoup de militants qui sont
d'anciens membres du MDC et qui ont repris foi en la politique
autrement pôner par Nicolas Dupont - Aignan et pour qui nos valeurs
Gaulliste ne sont pas un problème. Si le coeur t'en dis, je
t'invite à nous rejoindre pour ce grand combat à mener pour la
France.
Amitiés
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Commentaire de GB (15/03/2009 11:54) :
Quand tu dis "phagocyter", tu es gentil. Ce parti a totalement perdu son
âme quand JP chevénement a été candidat.Après des rapprochements avec des
proches de Pasqua, il y eut des tentatives avec des proches de de
Villers.Au moment de l'assemnlée constituante départementale du PDC du
pôle Républicain ( qui navait de Républicain que le nom), je me suis avec 3
de mes camarades opposé. 4 voix contre....450 voix pour...tu imagines! Ce
fut pour moi la plus grande déception politique de ma vie car cela faisait
plus de 25 ans que je militais inconditionnellemnt pour Chevènement qui
incarnait pour moi les valeurs Républicaines. Autant te dire qu'à côté
de cela les bassesses dont l'AR fait l'objet, c'est de la
roupie de sansonnet
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